Ce n'est ni l'argent ni l'honneur qui prime, sur ces maisonnettes ébranlées qui tirent grise mine. Au delà de ce spectacle oculaire, on ajoute bruissements animaux, détails subsidiaires ne gênant point ces habitants en oripeaux.
Loin les demeures aux allures de bétaillères, se trouvent les belles villas des nobles sortant des raillères. Leurs jolies façade soignées attirent les pauvres badauds, qui ne peuvent se dire qu'ils auront pareilles demeures dans leurs rêves les plus beaux.
Plus souvent dans leurs forêts que dans leurs propres foyers, les chasseurs n'ont trouvé que repos en ces campements loin du château. Ils ne reste que le temps d'une journée, vendant aux habitants leurs viandes fraîchement chassées.