Briséis ∑ Little Princess of Shadows

♦ MESSAGES : 8 ♦ ARRIVÉ(E) LE : 12/06/2011 ♦ AVATAR : Gemma Arterton

Prénom: Mes parents ont voulu me nommer d'une façon qui leur était chère à leur coeur, en effet, les deux prénoms que je porte sont ceux de mes ancêtres, ainsi on me prénomme Briséis et Léocadie. Je suis fière de les porter, car ils racontent mon histoire et définisse qui je suis.
Nom: Mon nom est celui de mon père, bien qu'il soit devenue très rare qu'on le prononce, autant les autres que moi-même, celui-ci est Lisherness. Peut-être que cela vous dit quelque chose, mon père était un vaillant chevalier se battant aux côtés de Pendragon.

Âge: J'ai atteint les vingt ans depuis peu. J'ai vécu beaucoup de choses et j'en vivrais beaucoup d'autres encore, je ne mourrais pas tant que je n'aurais pas accomplie mon dessein.
Contrée natale:Je viens de Logres, pays natale de mon père.
Rang social: Je fais partie des nobles, mon père était chevalier et ma mère était la fille d'un Duc.
Métier: Je suis actuellement espionne.
Camp: Je suis pour le camp des Gardes des Ombres, tout comme mon père avant moi.

Dis-nous qui es-tu réellement...

La vie a fait de moi ce que je suis aujourd'hui, mon caractère a été forgé par les différentes expériences qui ont constitué mon existence jusqu'à présent. Enfant, je respirais la joie de vivre et aimais courir partout. Mon père était mon modèle, je l'espionnais lorsqu'il s'entraînait et tenter de reproduire les mouvements. Lorsqu'il l'a découvert, je croyais qu'il allait me gronder, mais rien de cela, il m'apprit à manier l'épée comme lui. Je portais les cheveux longs, souvent attaché en une sorte de chignon pour qu'il ne me gène pas. J'aimais porter des vêtements de garçon et imitait mon père. On me reprochait souvent de faire comme les hommes alors que Dieu m'avait fait femme, alors quand ma mère me demandait d'apprendre la couture, de porter des robes, de marcher comme une femme, je m'exécutais. En grandissant, j'ai eu de moins en moins le droit de jouer avec les autres enfants, ma mère insistait pour que ces jeux cessent et que je prenne enfin conscience de ce que j'étais. Je m'exécutais donc. En grandissant, j'ai eu de moins en moins le droit de jouer avec les autres enfants, ma mère insistait pour que ces jeux cessent et que je prenne enfin conscience de ce que j'étais. Je m'exécutais donc. Je comprenais le sens de courage et de devoir, car mon père prônait ces valeurs, je comprenais ce que voulait dire allégeance, confiance, droit, honneur. Je n'étais pas stupide et je le suis encore moins aujourd'hui. Avec les derniers évènements, j'ai découvert que je pouvais être persuasive, bonne menteuse et guerrière. Je reste tout de même une jeune femme douce et sensible, je n'ai pas perdu tous mes rêves et ma féminité, bien au contraire, j'en joue et je remercie ma mère de m'avoir forcé à laisser les armes de côtés pour apprendre le métier de femme noble.

Chacun de nous à sa propre histoire...

Un jour, je me suis réveillée en sursaut, je venais de faire un horrible cauchemars. Pour faire passer les images, je sortais de mon lit et me rendais en cuisine, je savais que je trouverais quelqu'un. En effet, le panetier était là. « Que fais-tu là ma Bécaroilles ? » « J'ai fait un cauchemars maître panetier. » Il était venu vers moi, avait essuyé ses grosses mains sur son tablier et m'avait soulevé pour m'asseoir sur la table. « Raconte-moi ton cauchemars. » avait-il dit en me servant de l'eau. « Papa mourrait, il était sur le champ de bataille, il est très courageux mon papa, mais quelqu'un le tuait par derrière. » « Oui, votre père est très courageux, mais vous n'avez pas à avoir peur, il reviendra toujours vers vous et votre mère. » Il me descendit de la table, attrapa du pain qu'il beurra généreusement et me le tendis, il me prit l'autre main et m'accompagna jusqu'à ma chambre. « Bonne nuit Bécaroille. Demain est un autre jour et votre père sera là, comme il vous l'a promis dans les lettres. » « Je pourrais lui montrer mes exploits. » Je m'étais rendormis, un morceaux de tissu, provenant de la cape de mon père, entre mes mains. Lorsque je me réveillais, le soleil était déjà bien haut, j'entendis du remue ménage dans la cour, ma chambre donnait sur celle-ci, je m'étais alors précipité hors du lit et je m'étais rendue dans celle-ci, on n'avait bien essayé de me rattraper, de me faire retourner dans ma chambre, mais je n'avais pas écouté. Mon père descendait tout juste de son cheval lorsque je lui avais sauté dans les bras. L'étreinte avait été si forte, si longue, j'avais cru que j'y avais passé l'éternité, mais je rouvrais les yeux et m'apercevais que j'étais toujours là même, une petite fille aux cheveux noirs, fille d'un Duc, une petite Princesse encore naïve. Nous nous lâchions enfin à l'approche de ma mère, le regard noir, elle s'adressa à moi. « Que faîtes-vous dehors en robe de nuit ? Est-ce une façon d'accueillir son père ? » lorsque son courroux fut passé, elle embrassa mon père avec fougue, il lui avait manqué autant que moi, sinon plus. Lorsque ce fut fini, je pris mon père par la main. « Je me suis entraînée père et j'ai fait des progrès, maître Janice pourrait vous le dire, viendrez-vous me voir ? ». Il ne répondit pas, encore trop occupé par la seconde étreinte de ma mère. Nous étions rentrés à l'intérieur et mon père s'était reposé, j'avais pu lui montrer mes progrès au cours de l'après-midi, puis il était retourné à ses affaires. Je l'avais suivi à travers les couloirs, il était entré dans une salle avec ma mère et je l'avais entendu dire : « Quelque chose se prépare, je ne sais pas pour quand, mais je sens un danger qui plane sur nous. » mon père ne s'était pas trompé, le danger arrivait bel et bien, mais ce ne serait pas pour tout de suite. J'eus le temps de grandir comme toute femme de ses terres. Je devins, d'après les dire, une perle rare et je me faisais toujours autant chahuté par ma mère sur ma préférence des armes, mais elle avait compris que cela ne servait plus à rien de crier, bien au contraire. Je me laissais faire de temps en temps, pour lui plaire, je ne voulais pas qu'elle soit déçue ou ne pas voir de fierté dans ses yeux. Elle essaya plusieurs fois de me présenter à des hommes, je les éconduisais toujours, n'aimant pas qu'on me force de nature. Et puis ce que mon père avait prédit arriva. Il partit un jour pour ne jamais revenir. J'avais quitté le royaume avec lui pour me rendre à Camelot, voir une amie d'enfance. La nouvelle était allée vite, le Roi avait péri et bon nombre de chevaliers et de soldats avec lui. Mais comment cela avait-il bien pu arriver ? Après avoir appris la nouvelle, je suis rentrée chez moi auprès de ma mère, nous avons fait le deuil, bien qu'en ce qui me concerne, je n'accepte toujours pas ce qu'il s'est passé. Au lendemain de cette perte, Lucius s'était fait sacré Roi. Je n'avais jamais aimé cet homme et mon père non plus, combien de fois l'avais-je entendu parler de ce fourbe de Lucius, il fallait s'en méfier qu'il disait... J'étais retournée à Camelot, changeant d'identité et j'avais mené mon enquête, j'étais alors tombée sur d'anciens compagnons de mon père, dont un avec que je considérais comme mon oncle, il m'avait raconté ce qu'il s'était passé. En retrait dans l'armé que le Roi avait laissé à Lucius, il avait lancé son cheval au galop lorsque le Roi avait crié à l'aide. Il avait survécu avec peine, mais il avait survécu. Depuis ce jour, je décidais de mettre fin à la vie de Lucius et de sa famille, de rétablir l'ordre et d'aider les Gardes des Ombres.

Au delà des légendes arthuriennes...

Votre pseudo: Petrova.
Votre âge: vingt ans. facultatif
Venues sur le forum: 3 à 5jrs /7
Crédit: unknown.

Vos impressions sur le forum : J'aime beaucoup le design' et j'espère qu'il durera longtemps, puisque le contexte est vraiment superbe et qu'on peut trouver une bonne continuité.
Comment êtes-vous arrivé sur le forum ? THX Bazzart.
Quelque chose d'autre à ajouter? Non, plus maintenant, le problème majeur est résolue.